FollowJe suis encore une fois d’accord avec celle que j’aime appeller « ma chipie préférée ». En plus, contrairement aux autres fois où je reprenais un sujet qu’elle avait traité, cette fois-ci le hasard veut qu’elle aborde un sujet dont j’ai parlé il y a peu de temps. Dans sa chronique d’aujourd’hui dans le Globe and Mail, Margaret Wente aborde le controversé traitement pour la sclérose en plaques, qui soulève beaucoup d’espoirs, au point d’en avoir poussé certains à mettre de côté la rigueur scientifique. Or dans un récent billet, j’attirais l’attention sur un reportage à l’émission Les années-lumière à la radio de Radio-Canada, qui abordait les côtés problématiques parfois posés par les réseaux sociaux.
J’attire donc simplement l’attention sur la conclusion de la chronique de Mme Wente aujourd’hui: « Mark Pickup is confident that a real cure will come one day, though not in time for him. Meantime, he says, “we shouldn’t make decisions based on who’s yelling the loudest ». » Qui se recoupe drôlement bien ce que disait Marc Girard, un des spécialistes cités dans le reportage de Aujourd’hui la science: «Dès que les gens ont des propos qui vont un peu contre la masse, ils se font rabrouer sur les sites internet. »
Voilà. Intéressante convergence d’opinons, n’est-ce pas ?
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